EDWIN FARDINI | Baryton

« Révélation Classique de l’Adami 2019 et lauréat du CNSMD de Paris où »
« il a étudié dans la classe de chant d’Élène Golgevit, le jeune baryton Edwin Fardini se voit rapidement proposer des engagements comme soliste auprès d’orchestres et institutions prestigieuses. »

En témoigne ses débuts lors de la saison passée au prestigieux Teatro alla »
« Scala de Milan (rôle de Paris dans Roméo et Juliette de Gounod), mais encore ses récentes apparitions dans les parties de baryton solo du Requiem de Brahms (sous la direction de Raphaël Pichon, puis Patrick Davin) et de Manfred de Schumann avec l’Orchestre de Paris dirigé par Daniel Harding. »

Au cours de sa formation, il a eu l’opportunité de travailler le répertoire de mélodie française, du Lied et de l’oratorio auprès des pianistes Anne Le Bozec et Susan Manoff, ainsi que du baryton Stephan Genz et de la »
« mezzo-soprano Janina Baechle ; il a par ailleurs participé aux masterclasses de Thomas Quasthoff, Bernarda Fink et Regina Werner. »

« En 2016, il est lauréat de la Fondation de l’Abbaye de Royaumont, de même que de la Fondation Daniel et Nina Carasso, soutenant notamment ses explorations artistiques autour de Gustav Mahler. »

Lors de l’édition 2017 de l’Académie du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence, il participe à la Résidence Pinocchio et travaille en tant que doublure musicale pour la Création mondiale du dernier opéra du compositeur Philippe Boesmans et du dramaturge Joël Pommerat. »

En 2018 il fonde avec Mariamielle Lamagat (soprano), Adèle Charvet (mezzo-soprano) et Mathys Lagier (ténor), L’Archipel, ensemble à géométrie variable, invité comme « Ensemble résidant » à la Fondation Singer-Polignac en 2018/2019. »

On l’a entendu en récital aux côtés d’Anne le Bozec, de Tanguy de Williencourt, de Clément Mao-Takacs et du Secession Orchestra au Grand Salon du Musée de l’Armée, au Théâtre de l’Athénée, au Festival Les Athénéennes de Genève, ou encore au Festival de Royaumont. »
« A noter pour la saison 2020/2021 : Furie/Tisiphone (Hypollite et Aricie) au Théâtre de l’Opéra Comique, ou »
« encore le Père (Hänsel und Gretel) avec l’Orchestre national d’Île-de-France. »